jueves, 28 de agosto de 2008

Así nos ven: desde Francia



del diario Libèration del día 26-08-08 :

Après une crise de trois mois avec le monde agricole, une cuisante défaite au Sénat et une dégringolade de sa popularité, la présidente Cristina Fernández de Kirchner affronte aujourd’hui une inflation qui frôle les 30 % et les doutes de Wall Street sur la solvabilité du pays. Les huit premiers mois de son mandat ont éclipsé le rétablissement économique dû à son prédécesseur, son mari Néstor Kirchner, aujourd’hui chef du parti péroniste au pouvoir.

Et le doute a envahi les Argentins. Hormis les chiffres de la croissance, de l’ordre de 7 % en 2008, les autres indices économiques, du moins ceux considérés comme indépendants, sont au rouge : 40 % des Argentins travaillent au noir, 30 % vivent avec moins de 100 euros par mois, l’inégalité recommence à augmenter.

Le montant de la dette est supérieur aujourd’hui à ce qu’il était lors de la cessation de paiement du pays en 2001. Exclu du marché financier international, l’Argentine emprunte au Venezuela à des taux deux fois supérieurs à ceux du marché. Alors que le transport aérien est malmené, le gouvernement s’entête à vouloir renationaliser Aerolineas Argentinas. Les services publics, avec des tarifs ridicules de l’énergie ou du transport dans le grand Buenos Aires où habite le tiers de la population, sont à bout de souffle. «Depuis 1975, il y a eu dix-neuf ans de croissance et quatorze ans de crise. Les Argentins s’attendent donc à une prochaine catastrophe économique», reconnaît Bernardo Kosakoff, directeur local de la Commission économique pour l’Amérique latine.

____Traducimos los pasajes mas importantes:

La Presidente Cristina F.de Kirchner afronta hoy una inflación cercana al 30 % y lasa dudas de Wall Street sobre la solvencia del país.
Y la duda invade a los argentinos. A pesar de las cifras del crecimiento del orden del 7% en 2008, los otros indices económicos, al menos los considerados independientes, están al rojo: 40 % de los argentinos trabajan en negro;30 % viven con menos de 100 euros al mes y la desigualdad comienza a aumentar.
El monto de la deuda es superior hoy, al que era después de la cesación de pagos en 2001. Excluido del mercado financiero internacional,Argentina se empeña con Venezuela a tasas 2 veces superiores a las del mercado .Ahora que el trasporte aéreo está maltratado, el gobierno se encapricha en renacionalizar Aerolíneas Argentinas.Los servicios públicos, con tarifas ridículas de energía y de tras`porte en el Gran Buenos Aires,donde habita un tercio de la población,están a punto de quebrar.

1 comentario:

Pablo dijo...

Hola!
Gracias por pasar por mi espacio, dejar tu comentario y por adherir a mi pequeña campaña. Nos estaremos leyendo. Hasta pronto! ;-)